Le simulateur d’ego que tous les avocats devraient tenter (au moins une fois)
Vous avez déjà tapé votre nom dans Google ?
Vous avez déjà relu trois fois un commentaire LinkedIn sous votre dernier post ?
Vous avez déjà prononcé intérieurement “En piste, champion” avant d’entrer en audience ?
Vous n’êtes pas seul.
Chez Liberall Conseil, on accompagne chaque semaine des avocats dans leur positionnement, leur stratégie de communication, leur développement ou leur structuration. Et s’il y a bien une constante dans cette diversité de profils, c’est celle-là :
l’ego est toujours là. Parfois discret. Parfois flamboyant. Souvent bien calibré. Parfois pas.
Alors, pour rire un peu (et se regarder un peu mieux dans le miroir), on a conçu un test maison :
Le simulateur d’ego des avocats. 10 questions. Un score sur 100. Et quelques surprises à la clé.
Pourquoi un simulateur d’ego ?
La réponse courte : parce que ça fait du bien de rire de soi.
La réponse honnête : parce qu’on pense que l’ego est une ressource.
Pas forcément un défaut. Pas toujours un moteur. Mais un indicateur très révélateur.
Et dans un métier où la parole est un outil, où l’image est une carte de visite, où la posture est un signal autant qu’une défense, l’ego joue un rôle structurant.
Il influence la manière dont on plaide, dont on communique, dont on recrute, dont on facture, dont on se projette.
Alors quitte à le côtoyer tous les jours, autant apprendre à le regarder en face.
Même sous forme de quiz.
Ce que mesure le test (vraiment)
Pas votre niveau juridique. Pas votre capacité à gagner vos affaires.
Mais plutôt votre rapport au regard des autres.
À votre visibilité.
À votre rapport à l’image, à la reconnaissance, au prestige, à la scénarisation (plus ou moins assumée) de votre posture professionnelle.
On y parle :
- De Google (et de vous dans Google)
- De votre style sur LinkedIn
- De votre réaction face à un confrère brillant
- De votre relation à la robe
- De la manière dont vous attendez (ou non) qu’on vous regarde
Bref, des petites choses qu’on ne dit pas toujours à la machine à café, mais qui façonnent la manière dont vous exercez. Ou dont vous aimeriez exercer.
Un score sur 100, un miroir (et parfois un fou rire)
Le test est composé de 10 questions à choix multiples, avec un score pondéré de 0 à 10 pour chaque réponse. Vous pouvez donc obtenir un score entre 0 et 100, avec un profil associé à chaque tranche de résultat.
On ne vous les dévoilera pas ici (on ne va pas gâcher la surprise), mais disons que :
- certains profils s’assument dans la discrétion absolue,
- d’autres sont prêts pour GQ, BFM, et un TEDx en robe noire.
Quel que soit votre score, on vous donne :
- Un surnom (plus ou moins flatteur selon votre point de vue)
- Une carte visuelle à partager (ou pas)
- Une phrase d’accroche automatique à copier-coller sur LinkedIn (ou à encadrer dans votre bureau)
Et surtout, l’occasion de vous raconter différemment.
Pourquoi ça fonctionne ?
Parce que c’est drôle, mais pas vide.
Parce que ça pique, mais sans cynisme.
Parce que vous reconnaîtrez sans doute un ou deux confrères (ou vous-même) dans certaines questions.
Et surtout, parce qu’en deux minutes :
- Vous amorcez une réflexion sur votre posture professionnelle
- Vous ouvrez la porte à une conversation décalée en cabinet
- Vous découvrez comment vous êtes perçu (ou comment vous aimeriez l’être)
C’est aussi un excellent outil pour dédramatiser les enjeux d’image dans un métier où l’identité professionnelle est souvent rigide, codifiée, et où l’on hésite parfois à assumer ce qui relève du style, du panache ou de la communication.
Mais… est-ce sérieux ?
Non.
Et en même temps : un peu.
Le simulateur d’ego n’a pas vocation à trancher des choix de carrière, ni à diagnostiquer un manque ou un excès de confiance.
Mais il peut :
- Déclencher un sourire
- Servir d’amorce à une discussion d’équipe
- Aider à mieux formuler sa différence
- Dévoiler une tendance naturelle qu’on ne s’autorise pas toujours
C’est une boussole, pas une vérité.
Un clin d’œil, pas un jugement.
Un exercice de style, pas une photo d’identité.
Et ensuite ?
Vous pouvez :
- partager votre ÉGOscore sur LinkedIn avec panache
- taguer un ami ou un associé en écrivant “tu vas adorer (ou te reconnaître)”
- lancer une compétition amicale au sein du cabinet
- ne rien dire à personne, mais sourire intérieurement à chaque audience
Vous pouvez aussi ignorer le test.
Mais il reviendra.
Au détour d’un commentaire. D’un compliment. D’un post LinkedIn un peu trop soigné.
Ou d’un moment de solitude entre deux signatures.